Lors de la visite du président de la république française en Guyane du 21 au 22 janvier 2012, les pompiers de Guyane avaient repris leur mouvement de grève suspendu le 14 novembre 2011.
Cette reprise du mouvement de grève a été due essentiellement à l’absence de réponse du gouvernement sur deux points fondamentaux : le financement du SDIS et la dotation d’un hélicoptère.
Les pompiers ont jugé opportun d’utiliser la visite présidentielle pour obtenir des réponses claires et précises (photo FG).
En plus haut lieu, ce positionnement des soldats du feu de Guyane a été assimilé comme un crime de lèse-majesté, une attitude cavalière et irrévérencieuse vis-à-vis du roi de France.
Face à cette mutinerie, l’état major sarkosziste a décidé manu-militari le bâillonnement de la sécurité civile quelles qu’en soient les conséquences.
Mais les évènements vont démontrer une fois de plus que les revendications des pompiers sont justes.
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La suite de cet article est dans le journal Ròt Kozé n°180 téléchargeable ci-dessous :