Les pratiques des monarchies des temps anciens et de celles des rois dites républicains des temps modernes.
Que devient la justice économique
Depuis Christophe Colomb et l’histoire de l’esclavage des Africains des Amériques et Caraïbes, l’occident impérialiste a fait de l’économie un gadget de privilège du capitalisme individuel en s’associant à des actionnaires du même genre afin de réaliser divers projets et d’en tirer d’énormes profits.
Ce système est toujours à la mode mais moins performant de nos jours devant cet obstacle qui est l’intelligence mondiale de notre époque. Le désarroi manifeste actuel se justifie par l’inadaptation de certains pays d’Europe que je ne cite pas qui dans les temps antérieurs n’ont eu de politique que le pillage lié à leur histoire de colonisateurs.
Théorie contractuelle de la production des richesses et de la gestion du capital.
Dans certaine société de ce monde, la misère est devenue la potence des populations pauvres. Qu’est-ce donc la démocratie dite libérale ?
N’est-ce pas l’orientation bien voulue de certains Etats, qui profite à une certaine classe de gens souvent sans scrupules qui usurpent les véritables fonctions de ces Etats en s’accaparant des retombées des valeurs produites par le travail du capital vrai que sont les masses populaires. Dans ces pays, le mot patrie n’existe que pour quelques-uns, réduit pas la notion de tolérante pour les masses. Est-ce l’argent qui a droit de cité ? La politique est-ce une garantie du genre fond de commerce pour des préposés décideurs d’un moment, ou sont-ils des hommes de paille protecteurs de ceux-là ? Sans généraliser.
Pour ce qui devrait être le moteur du réalisme dans une vraie démocratie, ce serait d’abord de la discipline pragmatiste des hommes, exagérée même d’un peu de chauvinisme où l’honnêteté serait axée dans l’optique des ambitions collectives de progrès créateurs d’économie et non du chacun pour soi […]
Pierre Yamakuso
La suite de cet article est dans le journal Ròt Kozé n°184 téléchargeable ci-dessous :